Propositions de sorties
Nous inaugurons une nouvelle rubrique qui vous informe des propositions de sorties collectées et généreusement concédées par Gilberto du SEL de la Forêt de l'Hautil |
Payants ou gratuits, ces événements variés sont un ensemble d'informations que l'on met à votre disposition sans garantie ni caution du SEL |
Cette rubrique est actualisée mensuellement |
Bonnes sorties à tous !!
Amicalement,
Gilberto
Badzen![]() 06 FÉVR. | 28 MARS
Place François Truffaut Accès : Libre Événement proposé par : Mairie de Saint Gratien Elles sont venues ces figures, toutes emplies d’ombres encore, poussées au jour par quoi, pour quoi ? Elles se tiennent là maintenant, incertaines, en équilibre…
De sa peinture, sa sculpture, Badzen, n’en dira pas plus. "Pas de discours, pas de posture". Simplement des faits, des phénomènes, des figures. D’ailleurs comment dire ce qui travaille ici ? Comment dire ce qui donne fibre, forme et souffle à ces figures, nous révèle leur présence obscure? Il faut voir… Ne le 28 juin 1964 à Saint-Nazaire, Badzen, vit aujourd’hui dans la Drôme. Après des années de recherches artistiques en autodidacte, de renoncements en recommencements, il expose pour la première fois son travail. Jean-Manuel Simoes![]() 24 FÉVR. | 15 AVRIL
64 boulevard des Chasseurs Accès : Libre Événement proposé par : Ville de Courdimanche Jean-Manuel Simoes, photographe en résidence à la Ferme Cavan expose ses photos au sien de la MELC. Découvrez son univers et ses portraits.
Aljezur, le village à l’heure Van Dyke Situé à l’extrêmité sud-ouest du Portugal, quelques kilomètres au nord du cap Saint Vincent, Aljezur est l’incarnation parfaite du village traditionnel portugais avec ses maisons aux blanchis à la chaux, son église du XVIe siècle, ses chemins pavés, l’océan pour horizon et une population âgée. À l’été 2010, lors d’un de mes premiers longs séjours sur place, confronté à l’implacable logique démographique et la sérénité des lieux, j’y ai entamé une série de portraits photographiques. Je suis aller à la rencontre des habitants, âgés mais actifs, pendant leurs occupations aux champs, travaux qu’ils continuent de pratiquer selon des méthodes traditionnelles, utilisant les mêmes outils, faisant les mêmes gestes qu’autrefois. Dès le début de ce qui allait devenir un projet photographique, j’ai décidé de travailler à l’aide d’une chambre photographique format 4x5” et des films noir et blanc. L’utilisation de ce type d’appareil crée une relation particulière entre les deux parties car elle nécessite que le photographe se pose lui-même avant de faire poser son sujet. Le poids et le volume, qui pourraient être considérés comme un inconvénient, constituent un atout car il me passerai à l’idée de personne de douter que vous êtes en plein travail quand vous photographiez à la chambre. Dès le début, une proximité quasi “générationnelle” s’est créée entre l’appareil photographique et les sujets et aucun n’a refusé la séance de prise de vues. Il est vrai qu’à chaque nouveau séjour j’arrivai avec les photos du précédant, à tel point que mon appareil est devenu un véritable marqueur. Je n’ai pas tous retrouvés tous mes sujets, certains hélas, avaient entre temps emprunté un autre chemin ! De 2010 à 2018 j’ai photographié, developpé et contacté mes plan-films, et c’est en effectuant le travail de tirage en chambre noire que j’ai constaté que l’âme du travail n’était pas restituée par les tirages, aussi beaux et soignés puissent-ils être. J’ai rapidement compris que cette perte était directemente liée au papier utilisé. Trop régulier et trop parfait dans sa fabrication en série, le papier photo baryté bien que de grande qualité, n’offrait ni l’aspect ni l’esprit du sujet. J’ai donc commencé à effectuer des recherches vers des papiers non photographiques et l’usage de procédés dits alternatifs. La combinaison du procédé « Van-Dyke » qui offre un aspect très « vintage » et doux aux tonalités de brun-noirs, proche d’un tirage au platine, et du papier Platine de la maison Arches ont parfaitement répondu à mes attentes. Le Van Dyke est un procédé du XIXè qui permet de sensibiliser tout papier par imprégnation d’un mélange chimique à base de nitrate d’argent, produisant par-là un tirage quasi indestructible. Pour ajouter la touche finale à la série j’ai décidé de placer chaque photographie dans un cadre d’époque. Au cours des dernières années j’ai collecté dans les brocantes et vides greniers nombre de cadres anciens que j’ai ensuite restaurés. L’insolation réalisée par contact du négatif et du papier nécessite la productions de négatifs au format du tirage et il m’a fallu réunir tous les cadres avant de produire les négatifs à leur juste format. Ce travail, composé de soixante six photographies de formats divers représentant portraits, paysages, détails offre une vision singulière du Portugal. À l’heure où le pays devient une zone de résidence privilégiée pour les retraités européens, cette série offre l’image d’une vie où l’harmonie entre l’homme et son environnement sont les valeurs qui prédominent – à mon avis l’esprit de H.D. Thoreau tout autant que celui de E.S. Curtis y sont présents –. C’est également un travail qui valorise la vie dans sa dernière étape et illustre la richesse procurée par le choix d’une technique lorsqu’elle est en adéquation avec le sujet. Jean-Manuel Simoes La Mère Confidente![]() 28 FÉVR. | 15 MARS
33 Chemin d'Andrésy Tarif : Plein tarif 22€ Accès : Sur réservation Événement proposé par : Théâtre de l'Usine Le théâtre comique visant au divertissement présente toujours un caractère ludique. La mère confidente est une comédie dans laquelle Marivaux, habitué de ce style, rend le spectateur complice du jeu. L’univers de la comédie réunit l’habileté, l’amour et la gaieté. Nous ne sommes pas inquiets de l’issue, notre curiosité porte sur les moyens que le meneur de jeu va déployer. Notre plaisir tient au spectacle de sa virtuosité, aux effets comiques produits par des personnages secondaires et à la satire des moeurs dans l’extrême vivacité des dialogues. C’est cette vivacité des dialogues qui caractérise le plus le théâtre de Marivaux. L’argument De Marivaux, mise en scène Hubert Jappelle. Création 2020 - Compagnie Hubert Jappelle Festival des Tréteaux28 FÉVR. | 27 mars
Représentations dans différents lieux Infos : https://www.theatre-en-stock.com/index.php/festival-de-treteaux Programme : Lien vers Programme Événement proposé par : Théâtre en Stock
Au moyen âge, il n’existait pas de théâtre permanent, de théâtre en dur mais on savait théâtraliser les espaces publics : places, tavernes, cours de château... Le théâtre était provisoire et on devait inventer à chaque fois les conditions de la représentation. L’espace de jeu le plus utilisé etait l’espace frontal, dit théâtre de tréteaux. Des planches sont posées sur des tonneaux, un public est debout auquel les comédiens s’adressent directement. Il n’y a pas de 4e mur, il y a un espace de jeu fort, un espace vide qui exacerbe la théâtralité et le jeu jubilant des comédiens. Aujourd’hui, sans nostalgie, des metteurs en scène s’approprient ce genre théâtral, développent et affirment leurs recherches artistiques, tout en revendiquant de faire un théâtre populaire. En parallèle de la programmation, de nombreuses actions culturelles sont proposées durant tout le mois en direction des centres de loisirs, des collèges et lycées, afin de familiariser le jeune public à ce genre théâtral. Regards croisés sur Saint-Brice![]() 29 FÉVR. | 14 MARS
12 rue Pasteur Accès : Libre Événement proposé par : Mairie de Saint-Brice-sous-Forêt Le service expositions met à l'honneur deux artistes peintres saint-briciens avec une série d’œuvres réalisées sur le thème de la commune.
Deux artistes peintres saint-briciens, Geneviève Bonnet-Cadith, présidente de l’association les Arts s’enchaînent (ARTSE), et Rodolphe Laurencin, offrent un regard croisé sur des rues de Saint-Brice. |